“Pour éviter de nombreux accidents de noyades ; la solution est l’apprentissage de la natation dès 3 ans. “.
Une première franchise à Saint-Quentin-en-Yvelines (78), une deuxième à Crespières (78), et une troisième à Cannes (06) ! Forte de son expérience professionnelle dans le domaine du sport, c’est une triple franchise qui voit le jour avec Sabrina Partouche.
Travailleuse et sportive depuis toujours
Swim Stars : Bonjour Sabrina et merci pour le temps que nous accorde. Peux-tu nous dire qui es-tu, d’où tu viens ? Quel est ton parcours ?
Je m’appelle Sabrina Partouche et j’ai 30 ans. J’habite à Saint-Cyr-l’École.
Depuis toute jeune, j’évolue dans un environnement sportif et notamment dans le secteur associatif. Après ma licence en relation sociale, j’ai obtenu trois Master 2 : droit du sport ; gestion des ressources humaines ; management stratégique et conduite du changement au sein des organisations.
Je travaille maintenant au sein du Groupement d’Employeurs Profession Sport et Loisirs Francilien, où j’exerce différentes fonctions : gestionnaire du personnel et des activités du GE ainsi que référente alternance et service civique. Nous sommes implantés dans de nombreux départements d’Ile-de-France : le 75, 77, 91, 93 et 94.
Ma volonté est d’aider à la professionnalisation du mouvement sportif français, afin de sécuriser juridiquement le domaine du sport.
Qu’est ce qui t’as donné envie de rejoindre l’aventure Swim Stars ?
Dans le cadre de mes fonctions, je suis amenée à travailler avec le CDOS 93 (ndlr : Comité Départemental Olympique et Sportif) sur le dispositif « Je nage donc je suis » durant les vacances scolaires. J’ai donc souhaité poursuivre et développer cette action, notamment avec le dispositif « plan 0 noyade » déployé par Swim Stars.
Nous pouvons éviter de nombreux drames et accidents de noyades ; la solution réside dans l’apprentissage de la natation dès 3 ans. Les adultes sont aussi sujets aux accidents, ceux n’ayant pas eu la chance de bénéficier de cours de natation dans leur jeunesse sont également pris en charge au sein de notre structure.
Un concept adéquat pour la progression
Qu’est ce qui t’a plu ou t’a paru intéressant dans le modèle de franchise Swim Stars ?
En tant que franchisée Swim Stars, je bénéficie d’un accompagnement et d’un suivi marketing de qualité. Le service client m’aide également à résoudre certaines problématiques qui peuvent s’avérer être compliquées à gérer sur le terrain ; d’autant plus quand on possède trois franchises.
Par ailleurs, pouvoir offrir des cours de qualité en petit groupe permet aux élèves d’évoluer beaucoup plus vite et plus sereinement. J’ai pu constater la grande progression de certains enfants et adultes aquaphobes ; c’est une immense satisfaction de les voir s’épanouir au fur et à mesure, mais le plus gratifiant est de les voir heureux de venir à leurs cours de natation.
Est-ce que c’est incompatible d’entreprendre et de garder du temps pour ses passions, sa famille, ses proches ?
Bien-sûr que non ! Je choisis le nombre d’heures, les jours et les créneaux que je souhaite ouvrir à la réservation. J’ai donc la possibilité d’avoir un emploi du temps très flexible, ce qui me permet de garder du temps pour mes activités personnelles. Avec le soutien de mon mari, nous pouvons très facilement gérer cette activité.
Je choisis mon emploi du temps afin d’avoir du temps pour mes activités personnelles.
Nous sommes tout de même dans une école de natation ! Tu serais quelle espèce aquatique ?
À cause de ma phobie des poissons, je dirais…une sirène !
Un mot de la fin ?
Je suis généralement frileuse quant aux belles promesses, mais le concept Swim Stars m’a tout de suite séduit.
Au-delà du côté entrepreneurial, chaque enfant ou adulte s’éloigne un peu plus de la noyade grâce à mes cours de natation. Cela me procure le sentiment du devoir accompli.
Pour toutes les informations sur les cours de natation Swim Stars dispensés à SQY, Crespières et Cannes, rendez-vous sur la page piscine Swim Stars. Et pour découvrir les autres portraits de franchisés, direction le Blog Swim Stars.
